Créativité: les retours de votre blog comme source d'idées

Blog = échanges --> idées = échanges --> idées..

Ecrire dans un blog, c'est écrire à de futurs lecteurs pour susciter leur intérêt, leurs réactions.

Un blog sans interaction ne reste pas très longtemps en vie, car l'auteur se décourage et son inspiration s'épuise.

Le renouvellement, les idées, les rebondissements, la vie d'un blog viennent de son utilisation par ses lecteurs.

Pour l'auteur il est donc vital de recueillir des avis, des propositions, des idées...

Créativité: le blog est une lente montée en puissance

Le blog est une publication sur le long terme.
C'est ce que j'expliquais dans l'article "Le roman-feuilleton ancêtre du blog ?".

Un blog ne se réussit pas dans les premières publications, il se construit article par article.

Et les auteurs de blog se construisent et se perfectionnent aussi dans la durée.

Perfectionnement de l'écriture des articles.

Échanges et prise en compte des avis, des idées, des critiques, des propositions des lecteurs.

C'est ce processus d'animation qui permet de faire progresser l'auteur du blog et le blog lui-même.

Créativité: le syndrome de la page blanche

Vouloir écrire un article "parfait": rien de mieux pour rester bloqué et ne rien écrire !

 C'est le syndrome de la page blanche.

Ce syndrome se rapproche du vertige.
On se sent seul, nul, impuissant, abandonné.

Il n'y a pas que les grands artistes qui en sont victimes.
Il touche autant les professionnels que les débutants.

Cela arrive pour une oeuvre artistique comme pour l'écriture d'une simple lettre.

Quand on est touché comment s'en sortir ?

Créativité: le syndrome de l'imposteur

Imposteur ?

Le mot n'est-il pas trop fort ?

C'est un syndrome très fort, proche de la peur de réussir, qui consiste à dévaloriser ses succès en attribuant leurs causes à d'autres, à la chance et ainsi de diminuer sans cesse son estime de soi.

La victime du syndrome de l'imposteur s'attend à être démasquée

C'est aussi le syndrome de l'autodidacte qui craint toujours de "ne pas être au niveau".
Et aussi des transdisciplinaires qui doutent de leurs compétences dans la mesure où ils ne sont pas spécialisés dans un domaine.

A un niveau plus ou moins élevé, ce syndrome peut toucher chacun.

Comment réagir ?